Il y a des lignes rouges à ne pas franchir
«La Corse est dans la France et dans la République et aucun discours, en corse ou en français, ne pourra remettre en question ce lien», a aussi prévenu le chef du gouvernement, faisant allusion au discours en corse du nouveau président de l’assemblée de l’île, l’indépendantiste Jean-Guy Talamoni.
« L’amnistie des prisonniers politiques ? Il n’y a pas de prisonniers politiques. La coofficialité (de deux langues : corse et français) ? Il n’y a qu’une seule langue dans la République, c’est le français. Un statut de résident pour les Corses, sur le plan fiscal ? C’est contraire à la République » à indiqué Manuel Valls.