19 avril 2024

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Relaxe pour José Bové

Le leader altermondialiste comparaissait pour avoir envahi, en 2006, des entrepôts du semencier Monsanto.Retour sur 10 ans de lutte contre les OGM et la malbouffe qui ont souvent conduit José Bové devant le juge.En cours- audience de délibéré prévue le 22 octobre : destruction de maïs transgénique à Lugos.

José Bové et onze militants anti-OGM dégradent, en novembre 2006, un stock de 2.300 tonnes de maïs transgénique dans un silo à Lugos, en Gironde.

Le procureur du tribunal de Bordeaux a réclamé mi-août huit mois de prison ferme et quatre ans de privation des droits civiques, civils et familiaux à l’encontre de José Bové, entre quatre et six mois avec sursis pour les autres faucheurs et dix mois avec sursis contre l’agriculteur.

Le procureur du tribunal de Toulouse a condamné le leader altermondialiste à s’acquitter de 180 jours-amende à 100 euros, soit un total de 18.000 euros.

La cour d’appel de Toulouse condamne initialement en 2005 à 4 mois ferme de prison le leader altermondialiste pour sa participation en 2004 à l’arrachage de mais transgénique dans un champ de Menville.

La Cour de Cassation confirme le jugement début 2007 mais ne prive pas l’opposant à la Malbouffe de ses droits civiques.

Le juge d’application des peines transforme, en décembre 2007, sa sentence en jours-amende.

L’ancien réfractaire au service militaire est mis en examen à Millau, par un juge d’instruction suisse, pour une manifestation devant le siège de Nestlé à Vevey deux ans auparavant.

A ces 6 mois ferme se rajoute les quatre mois avec sursis récoltés dans l’affaire Novartis, José Bové doit effectuer 10 mois d’emprisonnement. Source

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Société de médias - PCI

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