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Lors de son interview dimanche 24 septembre sur TF1 et France 2, Emmanuel Macron a annoncé que le chèque carburant de 100 euros, destiné aux travailleurs les plus modestes, sera reconduit l’an prochain. « L’État peut agir, et doit agir plus loin que les fameux 100 euros », a estimé Xavier Bertrand, invité des «4 Vérités» sur France 2, lundi.
Olivier Gantois, président de l’UFIP Énergies et Mobilités, et porte-parole des pétroliers en France a déclaré lundi 25 septembre sur franceinfo ne pas vouloir «bercer les consommateurs d’illusions», alors qu’Emmanuel Macron a demandé dimanche 24 septembre aux distributeurs de vendre le carburant à «prix coûtant» pour faire face à la hausse des prix.
Dans une interview au Parisien datée de samedi 16 septembre, la Première ministre, Elisabeth Borne, annonce « qu’à titre exceptionnel (…) et sur une période limitée de quelques mois », les enseignes de la grande distribution pourront vendre à perte le carburant, alors que la loi leur interdit depuis 1963. L’objectif affiché est de « baisser davantage les prix ». « Avec cette mesure inédite, nous aurons des résultats tangibles pour les Français
«On se fait attaquer, racketter, voler et on ne devrait rien dire», a poursuivi le secrétaire national du PCF face à la hausse des prix de l’alimentation, de l’énergie et des carburants. Les prix des carburants en France sont remontés régulièrement depuis plusieurs semaines, frôlant ainsi les 2 euros le litre en moyenne.
«On est en train de nous habituer à un litre grosso modo à deux euros», dénonce le président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand, vendredi 1ᵉʳ septembre sur franceinfo. «Il nous faut au moins 15 à 20 centimes d’euros de ristourne par litre» de carburant, réclame-t-il, estimant que les consommateurs ne peuvent pas suivre.
Sur une aire d’autoroute, c’est l’heure de faire un plein. « Cela fait un peu mal, mais cela fait partie de la vie », témoigne fataliste le vacancier. En moyenne, l’essence a pris 11 centimes depuis début juillet. Pour préserver le budget vacances, il n’y aura aucune dépense superflue. Le constat est le même près de Narbonne (Aude)
Au printemps 2022, dopés par la reprise post-Covid-19 puis par les conséquences de la guerre en Ukraine, les prix des carburants avaient explosé. Pour compenser la perte de pouvoir d’achat, le gouvernement avait alors mis en place une ristourne de 15 à 18 centimes TTC par litre de carburant, portée à 30 centimes en septembre octobre. Une mesure censée soulager tous les ménages, mais surtout les plus modestes.
Changer d’avions pour en prendre de plus modernes permet de consommer moins de carburant, souvent de 20 à 25 % en moins. Et c’est aujourd’hui un des leviers les plus efficaces pour réduire l’empreinte carbone des compagnies. Mais, changer d’avion revient très cher, par exemple, pour Air France, acheter des A220 pour les moyens courriers, et des A350 pour les longs courriers, cela représente un milliard d’euros par an.
Des précisions sur la prochaine ristourne sur les prix des carburants. L’« indemnité carburant travailleurs» bénéficiera «à la moitié des ménages» français, a annoncé la Première ministre Elisabeth Borne, dans un entretien au journal Les Echos (article pour abonnés), paru vendredi 18 novembre. « Cette indemnité carburant travailleurs bénéficiera aux ménages se situant dans les cinq premiers déciles de revenus, soit la moitié des ménages », a-t-elle déclaré
La réaction tardive de l’exécutif face à la grève dans les raffineries passe mal au sein même de la majorité. Un retard à l’allumage critiqué dans les ministères, qui se renvoient la balle. «Objectivement, on n’a pas été à la hauteur», peste un conseiller ministériel auprès de France Télévisions. La séquence sur le dossier de la pénurie de carburant a laissé des traces au sein du gouvernement d’Elisabeth Borne.
Face aux difficultés d’approvisionnement dans les stations-service, tous les préfets vont recevoir l’instruction, ce mardi, d’interdire la vente et l’achat de carburant dans un récipient, de type bidon ou jerrican, a appris franceinfo lundi 10 octobre auprès du ministère de la Transition énergétique.
Alors qu’en France une station service sur trois est à sec d’au moins un carburant, une question revient en boucle dans les files d’attentes : que fait le gouvernement ? Gestion du stock, blocages qui s’éternisent, priorités à la pompe… Les usagers s’interrogent… et s’agacent. Aller travailler est devenu un défi. Les pompes à essence de France sont à sec depuis les blocages des raffineries de Total.
L’indemnité carburant pour les travailleurs à revenus modestes et les gros rouleurs sera mise en place au 1ᵉʳ octobre et la ristourne de 18 centimes disparaîtra à la fin de l’année, a annoncé jeudi 7 juillet le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. « Nous allons remplacer les 18 centimes qui vont être ramenés à 16, 12, 10, on va le faire très progressivement, mais à la fin de l’année
Au lendemain du second tour de la présidentielle 2022, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, était l’invité de franceinfo, lundi 25 avril. Le locataire de Bercy s’est attardé sur la remise gouvernementale de 18 centimes par litre d’essence, appliquée automatiquement dans les stations-service en France.
Depuis un an, le prix du litre de gazole ne cesse de grimper avec une hausse de 28% sur la période. Outre son récent passage à 1,53 euro du prix moyen, un autre record a failli être battu. Le prix du litre d’essence SP 95 s’élevait en moyenne à 1,6073 euro soit presque égal au pic de 2012 (1,664 euros). Lundi 11 octobre, Les Échos rapportent que les prix du carburant en France ont de nouveau augmenté
La barre symbolique des 2 euros le litre d’essence est bientôt franchie. Il faut dire que depuis des mois, le prix des carburants ne cesse d’augmenter. Le prix du carburant ne cesse d’augmenter. À Paris, les prix du SP95 et SP98 sont entre 1,86 et 1,99 euro,
La fédération CGT de la chimie a appelé les salariés des raffineries et des dépôts de carburants à faire grève à partir de mardi 7 janvier jusqu’à vendredi 10 contre le projet de réforme des retraites. “Sept raffineries sur huit sont en grève”, a affirmé mardi sur franceinfo Emmanuel Lépine, secrétaire général de la Fnic-Cgt