Des élus écologistes défendent l’idée d’un impôt sur la fortune (ISF) en faveur du climat
Les plus riches doivent être mis à contribution parce qu’ils sont aussi les plus pollueurs, comme l’indique le rapport de Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz, l’empreinte carbone des 10 % les plus riches est trois fois supérieure à celle des 10 % les plus pauvres. Les écologistes défendent de longue date un ISF climatique, un outil de justice climatique qui se distingue par un système de bonus-malus