EDF, dont l’actionnaire unique est l’État, indique que le nouveau réacteur à eau pressurisée, le 4ᵉ de ce type installé dans le monde, injecterait pour la première fois des électrons dans le réseau électrique français «à l’été 2024». L’exploitant des centrales nucléaires a reçu le 7 mai le feu vert de l’Autorité de sûreté nucléaire pour la mise en service du 57ᵉ réacteur français
EDF va revoir les plans de ses petits réacteurs nucléaires (SMR), a déclaré lundi 1ᵉʳ juillet l’entreprise française. Les SMR, qui se différencient des gros réacteurs traditionnels tels qu’on les connaît, sont développés par EDF en partenariat avec le Commissariat à l’énergie atomique, Framatome, Naval Groupe et Tractebel.
En juillet, le niveau moyen du prix référence se situera à 129,2 euros TTC du mégawattheure contre 115,7 euros/MWh en juin, selon l’indice de référence mensuel publié lundi par la CRE (commission de régulation de l’énergie). Le régulateur relativise toutefois en avançant que «même si ce prix est en augmentation»
Cette fois, c’est fait. Le Parlement a définitivement adopté mercredi 3 avril un texte socialiste sur EDF, mêlant dispositions anti-démembrement et extension de tarifs réglementés de l’électricité aux petites entreprises et communes. La proposition de loi du député Philippe Brun visant à « protéger EDF d’un démembrement» a reçu dans la soirée une ultime approbation du Sénat
Avec douze ans de retard sur le calendrier initial, EDF prévoit que le réacteur nucléaire de l’EPR de Flamanville injectera pour la première fois de l’électricité dans le réseau national «à l’été 2024», selon un communiqué publié mercredi 27 mars. En décembre, l’opérateur tablait sur un raccordement «mi-2024», mais l’Autorité de sûreté nucléaire,
«Nous agirons pour que le bouclier énergétique bloque une augmentation, quand bien même les prix sur les marchés internationaux seraient amenés à s’envoler», a-t-elle souligné, avant d’ajouter que les prix de l’électricité «aujourd’hui sur les marchés internationaux sont plus faibles qu’en septembre». « Notre décision est de faire en sorte qu’au 1ᵉʳ février 2024», le tarif de l’électricité « n’augmente pas de plus de 10 %»
L’hiver pourrait faire s’envoler le prix du diesel. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a mis en garde, jeudi 12 octobre, contre de possibles pénuries de diesel en Europe cet hiver en raison de contraintes d’approvisionnement. L’AIE mentionne notamment l’embargo de l’UE sur le pétrole brut russe et estime que l’Europe aura besoin « d’importations soutenues» en provenance d’autres pays.
Le Qatar et la compagnie française TotalEnergies ont signé deux accords d’approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) d’une durée de 27 ans, a annoncé QatarEnergy mercredi 27 octobre. Ces contrats doivent permettre de “fournir jusqu’à 3,5 millions de tonnes par an GNL du Qatar à la France”, a affirmé le géant gazier de l’émirat, en précisant que les livraisons débuteront en 2026
La France est mieux armée pour s’approvisionner en gaz et exporter vers les voisins européens durant l’hiver 2023, ont annoncé les gestionnaires du réseau de transport de gaz GRTgaz et Teréga, lundi 9 octobre. «La marge de sécurité reste faible en cas de pointe de froid en seconde partie d’hivers», préviennent GRTgaz et Teréga. Selon eux,
L’idée est d’envoyer un « message fort sur l’importance du nucléaire pour accélérer la décarbonation » et de « travailler sur la bonne intégration du nucléaire dans les politiques publiques européennes », précise un communiqué envoyé la veille par le ministère de la Transition énergétique, alors que la Commission européenne s’est longtemps montré frileuse à l’égard de cette source d’énergie, notamment depuis l’accident de Fukushima en 2011.
L’éolien et le solaire ont assuré 12 % de la production électrique mondiale en 2022, mais toujours loin derrière le charbon, qui reste la première source d’électricité au monde, selon un rapport (en anglais) du groupe de réflexion sur l’énergie Ember publié mercredi 12 avril.
Bruxelles a dévoilé mardi 14 mars ses pistes pour réformer le marché européen de l’électricité sans le restructurer fondamentalement, en recourant aux contrats énergétiques de long terme pour protéger les consommateurs et encourager les investissements dans les renouvelables et le nucléaire. Les prix de gros de l’électricité dépendant du coût de la dernière centrale utilisée pour équilibrer le réseau
Le risque de tension sur le réseau électrique pour le reste de l’hiver est passé de « moyen » à « faible », selon le gestionnaire du réseau de haute et très haute tension RTE (Réseau de transport d’électricité). Il l’avait déjà passé d’«élevé» à « moyen » le 20 décembre. « L’actualisation de mi-février pour la fin de l’hiver confirme le diagnostic des derniers mois
Une nouvelle querelle a éclaté entre la France, l’Allemagne et l’Espagne à propos de l’énergie nucléaire, la France étant furieuse du manque de soutien de l’Allemagne et l’Espagne dans ses efforts pour que l’hydrogène bas-carbone soit reconnu comme «verte» dans la réglementation de l’Union européenne, ont déclaré des sources. La France, qui dépend du nucléaire, presse pour que l’utilisation d’hydrogène bas-carbone
Ils sont pâtissiers, boulangers, restaurateurs, patrons d’une petite société. Victimes, selon le gouvernement, des prix imposés par les fournisseurs d’énergie, lors de la signature de leur nouveau contrat. Jeudi 5 janvier, Emmanuel Macron pointe même du doigt ces fournisseurs, et exige un changement de comportement. Une attaque qui a fortement surpris les principaux concernés.
Les Français vont payer leur gaz plus cher à partir du 1ᵉʳ janvier. Malgré l’envolée des prix du gaz, jusqu’ici le bouclier tarifaire limitait la hausse de ses factures à 4 %. Un plafond qui passe à 15 % dans trois jours. Sont concernés par le bouclier tarifaire les particuliers consommant moins de 30 MWh par an, avec un contrat au tarif réglementé.