Pour justifier cette décision, la tête de liste RN aux européennes a expliqué sur France 2 ne pas vouloir donner de « blanc-seing » au président de la République, tout en indiquant que cette stratégie comporte à ses yeux des « des lignes rouges », comme vous pouvez le voir ci-dessous. Outre la question de l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne et à l’OTAN, Jordan Bardella a également dénoncé le « principe de dissuasion active »