Une forte concentration de pollens dans l’air facilite l’infection a la Covid-19
Au printemps dernier, alors que le Covid-19 commençait à paralyser le monde, des chercheurs ont constaté que la pandémie était un peu plus forte dans des pays – à majorité dans la zone tempérée du globe – où les pollens d’arbres se diffusaient. Un lien de cause à effet qu’une étude internationale, publiée le 8 mars, a réussi à démontrer : le risque d’être infecté par le coronavirus est plus élevé