Carla Bruni-Sarkozy relance le débat sur la discrimination positive
« Il faudrait aider les élites à changer…ou les forcer un peu, car la psychologie n’y suffira pas.(…) Sans mesures politiques, on attendra trop », estime la première dame dans un entretien au Journal du dimanche du 9 novembre. Sans parler de « discrimination positive » – une politique américaine fondée sur des quotas ethniques dans les universités ou les administration