L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de lundi à mardi 23 juin une proposition de loi LREM controversée prévoyant des “mesures de sûreté” pour les condamnés pour terrorisme, à l’issue de leur peine. L’autorité judiciaire pourra imposer durant cinq ou dix ans à ces condamnés plusieurs obligations : répondre aux convocations du juge d’application des peines