L’OMS craint que le virus de la grippe aviaire s’adapte à l’espèce humaine
Les mammifères concernés par la grippe aviaire sont essentiellement des prédateurs d’oiseaux sauvages : des renards, belettes, ratons laveurs par exemple, mais aussi des mammifères marins comme certaines otaries. Elles sont sans conséquences jusqu’ici mais les experts de l’OMS redoutent que ce virus, qui a des capacités d’adaptation, ne finisse par contaminer