19 avril 2024

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Emmanuel Macron fait un sans-faute sur la scène internationale

Emmanuel Macron fait un sans-faute sur la scène internationaleEmmanuel Macron fait un sans-faute sur la scène internationale. La chance est une qualité en politique et Emmanuel Macron a bénéficié, pour ses premiers pas diplomatiques, d’un agenda international particulièrement favorable.

Le nouveau président de la République a passé ces derniers jours une série de tests majeurs, d’autant plus importants que des interrogations pesaient sur lui, liées à son jeune âge (39 ans) et à sa relative inexpérience en politique internationale avant son accession à l’Élysée.

Après une rencontre avec les dirigeants des pays membres de l’OTAN, jeudi 25 mai à Bruxelles, il a, justement, retrouvé les responsables du G7 pour un mini-sommet organisé vendredi et samedi à Taormine, en Sicile.

Un exercice maîtrisé par Emmanuel Macron, jusqu’à son refus de commenter depuis Taormine les difficultés hexagonales de son ministre de la cohésion des territoires, Richard Ferrand.

Les réunions bruxelloise et sicilienne ont surtout permis au président français de rencontrer son homologue américain, Donald Trump, qui n’avait pas caché sa préférence pour son adversaire du Front national (FN), Marine Le Pen, lors de la campagne présidentielle française.

Leur face-à-face était attendu, tant les positions de Paris et de Washington divergent sur de nombreux sujets internationaux (respect de l’accord de Paris sur le climat, définition des règles du commerce mondial, politique vis-à-vis de la Russie, etc.).

«J’ai vu un dirigeant qui a des convictions fortes, dont je partage une partie, comme la lutte contre le terrorisme, et avec lequel j’ai des désaccords que nous avons abordés de manière très dépassionnée», a ajouté le chef de l’État.

L’occasion pour le Français d’aborder avec eux les grands dossiers économiques et politiques internationaux du moment, de la lutte contre le terrorisme à la crise des migrants ou la relance de l’Union européenne (UE).

«Le symbole que représente son élection change déjà par lui-même le jeu, suscite une attente et lui donne une réelle marge d’initiative sur la scène internationale», note Jacques Audibert, ancien conseiller diplomatique de François Hollande.

L’invitation à Poutine au château de Versailles avait été lancée lors de la conversation téléphonique entre les deux présidents, le 8 mai, au lendemain de l’élection du Français.

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