Le gaz hilarant attire toujours plus de jeunes
C’est un trafic très lucratif. Une bouteille d’un litre de protoxyde d’azote coûte environ 25 euros et permet de fabriquer ensuite jusqu’à 400 ballons de baudruche remplis de gaz hilarant. Revendus entre cinq et dix euros l’unité. Un usage détourné qui connaît un succès inquiétant. Le commissaire William Hippert est porte-parole adjoint de la police judiciaire