La situation de la France n’est pas si dramatique pour son blé
Philippe Chalmin, économiste et spécialiste des matières premières, estime que si le contexte actuel est difficile, il ne met pas en péril la place de la France dans la compétition mondiale de l’exportation de blé.
“Pour certains agriculteurs, cela monte jusqu’à 50 % en moins. Or la production est bonne pour le monde entier cette année, sauf pour la France”, constate Philippe Chalmin.
Les plus gros concurrents de la France sur le marché mondial sont la Russie, l’Ukraine et le Kazakhstan qui exportent, ensemble, 45 millions de tonnes.