«Derrière ces chiffres, il y a une réalité» dans laquelle «des personnes ont moins d’un mètre carré par personne pour se mouvoir» et sont «enfermés 22 heures sur 24 dans des endroits si insalubres qu’il faut le voir pour le croire», déclare Dominique Simonnot, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté sur franceinfo vendredi 29 décembre.