La France s’investit dans le séquençage du génome
Le but annoncé du plan est de positionner la France, d’ici à 10 ans, “dans le peloton de tête des grands pays engagés dans la médecine génomique”.
Près de quinze ans après le premier séquençage complet du génome humain, la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) vient de lancer un appel à projets pour la sélection des deux premières plateformes nationales de séquençage à très haut débit.
Il vise à «intégrer la médecine génomique dans le système de soins», ce qui permettra à un grand nombre de personnes «de bénéficier, grâce au séquençage en routine de leur génome, d’une prise en charge diagnostique et thérapeutique plus personnalisée».
Les premiers patients concernés sont ceux atteints de maladies rares ou de cancer.