Les ménages pourraient bénéficier d’une baisse de leur facture des tarifs régulés de l’électricité d’« au moins 10 % au 1ᵉʳ février», a estimé mercredi 11 septembre la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Une première depuis le début de la crise énergétique. Concrètement, pour un ménage moyen avec une facture annuelle de 2 000 euros, l’économie est estimée à 200 euros par an.
Cette fois, c’est fait. Le Parlement a définitivement adopté mercredi 3 avril un texte socialiste sur EDF, mêlant dispositions anti-démembrement et extension de tarifs réglementés de l’électricité aux petites entreprises et communes. La proposition de loi du député Philippe Brun visant à « protéger EDF d’un démembrement» a reçu dans la soirée une ultime approbation du Sénat
«Nous agirons pour que le bouclier énergétique bloque une augmentation, quand bien même les prix sur les marchés internationaux seraient amenés à s’envoler», a-t-elle souligné, avant d’ajouter que les prix de l’électricité «aujourd’hui sur les marchés internationaux sont plus faibles qu’en septembre». « Notre décision est de faire en sorte qu’au 1ᵉʳ février 2024», le tarif de l’électricité « n’augmente pas de plus de 10 %»
Les tarifs de l’électricité vont grimper de 10 % au 1ᵉʳ août prochain, selon les informations de France Inter mardi 18 juillet. Le gouvernement a consulté lundi soir le Conseil supérieur de l’énergie pour mettre en place cette hausse, l’accord de ce dernier n’étant pas une nécessité. La hausse concernera l’ensemble des ménages, ainsi que les toutes petites entreprises
Bruxelles a dévoilé mardi 14 mars ses pistes pour réformer le marché européen de l’électricité sans le restructurer fondamentalement, en recourant aux contrats énergétiques de long terme pour protéger les consommateurs et encourager les investissements dans les renouvelables et le nucléaire. Les prix de gros de l’électricité dépendant du coût de la dernière centrale utilisée pour équilibrer le réseau
Une nouvelle mesure pour aider les très petites entreprises qui font face à la crise énergétique. « Les fournisseurs garantissent à toutes les TPE qu’elles ne paieront pas plus de 280 euros le MWh en moyenne d’électricité en 2023», a annoncé le ministre de l’Économie, vendredi 6 janvier, à l’issue d’une réunion avec les fournisseurs.
Ils sont pâtissiers, boulangers, restaurateurs, patrons d’une petite société. Victimes, selon le gouvernement, des prix imposés par les fournisseurs d’énergie, lors de la signature de leur nouveau contrat. Jeudi 5 janvier, Emmanuel Macron pointe même du doigt ces fournisseurs, et exige un changement de comportement. Une attaque qui a fortement surpris les principaux concernés.
La consommation d’électricité liée à l’éclairage public a enregistré une baisse « historique » de 20 % durant la première quinzaine de décembre entre minuit et 4 heures, a indiqué mardi 27 décembre le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité Enedis. Cette baisse a été enregistrée en « cœur de nuit », entre minuit et 4 heures du matin, par rapport à la même période en 2021
Le risque de coupures ciblées d’électricité en janvier ou février n’est pas à «exclure» mais l’hiver le plus à risque sera «probablement» celui de 2023-2024, a estimé jeudi soir la présidente de la Commission de régulation de l’énergie Emmanuelle Wargon. « C’est là aussi que ce que l’on fera sur les importations de gaz, les importations d’électricité
Le dispositif d’aide pour aider les entreprises à payer leur facture d’énergie doit être affiné dans les jours à venir mais l’idée, elle, a été arrêtée ce week-end. L’option choisie par le gouvernement, c’est de payer directement une partie de la facture d’énergie des entreprises et de compenser une partie de leur surcoût d’achat d’électricité.
L’ingénieur français, Guillaume Rozier, lance TrackMyWatt, un outil en ligne pour suivre en temps réel la consommation et la production d’électricité en France. Il s’était fait connaître pendant la pandémie de la Covid-19 avec les outils gratuits CovidTracker et Vitemadose. « Il est important d’éviter des pics de consommation, mais il est aussi important de réduire notre consommation d’énergie »,
Mise à jour à 18 h 55 – Selon franceinfo, la hausse des prix des tarifs réglementés du gaz et de l’électricité sera d’au moins 10 % en 2023, en France, selon les prévisions du gouvernement, de sources concordantes, mercredi 14 septembre. La Première ministre doit s’exprimer à 15 h 30 pour préciser les modalités du bouclier tarifaire qui continuera de s’appliquer après janvier.
Le gouvernement avait mis en place un bouclier tarifaire pour limiter la hausse des prix de l’électricité. Bruno le maire, ministre de l’Économie,, en accord avec Emmanuel Macron, avait craché par terre pour affirmer qu’il n’y aurait pas de rattrapage. Il y aura bien un rattrapage sur la facture d’électricité dès février 2023, selon Le Parisien.
Grâce à une dérogation de l’Union européenne, la péninsule ibérique verra son prix de l’énergie chuter de manière importante. Bruxelles va, en effet, autoriser l’Espagne et le Portugal a fixé eux-mêmes le prix de l’électricité et du gaz. Pas de tour de magie, mais tout simplement une dérogation de la part de l’Union européenne qui va permettre à l’Espagne et au Portugal de fixer
La SNCF «est l’alliée du pouvoir d’achat des Français», a assuré le PDG de SNCF Voyageurs, Christophe Fanichet. La hausse des prix de l’énergie n’aura pas d’impact sur les billets de train cette année. C’est ce qu’a promis Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs, lors d’un point presse, cité par BFM Business ce vendredi 8 avril.