Dans son rapport, la contrôleuse générale pointe des « interpellations violentes », des « conditions d’hygiène indignes»
La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) dénonce mercredi 3 mai « une instrumentalisation des mesures de garde à vue à des fins répressives ». Dans un courrier envoyé au ministre de l’Intérieur le 17 avril dernier et rendu public mercredi, Dominique Simonnot appelle à la « vigilance » de Gérald Darmanin « quant à la nécessité de veiller au respect des dispositions législatives et réglementaires applicables à la procédure de garde à vue ».