Psychiatrie : les enfants les plus pauvres sont trois fois plus souvent hospitalisés
Selon cette étude, chez les deux à trois millions d’enfants qui bénéficient de la couverture maladie universelle (CMU), réservée aux plus modestes, certaines pathologies reviennent plus souvent que chez les autres enfants. L’étude note que la précarité et le cadre de vie jouent sur la santé mentale des enfants les plus pauvres.
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Les enfants vivant sous le seuil de pauvreté sont trois fois plus fréquemment hospitalisées pour des problèmes psychiatriques que les autres. L’étude insiste sur la nécessité de repérer ces troubles psychiatriques tôt, et de protéger ces enfants issus de milieux modestes en les prenant en charge rapidement pour éviter des conséquences plus lourdes à l’âge adulte.