“Les abattoirs sont encore des lieux trop opaques”

“Les abattoirs sont encore des lieux trop opaques”. Une fois de plus les esprits ont été choqués par des vidéos abominables sur la maltraitance des animaux dans les abattoirs.

L’association L214 dévoile une nouvelle fois des images brutales.

Olivier Falorni, député de Charente-Maritime a créé une commission d’enquête parlementaire le 22 mars dernier sur les conditions d’abattage d’animaux.

Il est hors de question de voir des abattoirs “se transformer en salle de torture, dans un pays civilisé comme la France, ou en tout cas qui prétend l’être”.

Le député tient d’ailleurs à saluer le travail de l’association L214, qui remplit pleinement son “rôle de lanceur d’alerte”.

“L’objet de cette commission d’enquête, c’est de voir ce qui se passe réellement dans ces abattoirs, explique Olivier Falorni, et si ces actes de cruauté sont pratiqués largement”.

Pour cela, beaucoup ont suggéré l’utilisation de caméras de surveillance mais ce n’est pas tout.

Outre les caméras de surveillance, Olivier Falorni affirme que l’on doit avoir un “label bien-être animal “, pour savoir si l’animal ou pas, a pu être abattu dans des conditions de dignité.

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