Tout n’est pas forcement bon dans le saumon
Les testeurs de 60 millions de consommateurs ont analysé 10 références de pavés de saumon et 15 de saumons fumés, d’origine Norvège, Irlande ou Écosse, conventionnels et bio, certains avec label Rouge ou certifiés filière responsable.
Si l’on prend le taux de dioxines et de PCB (polychlorobiphényles) par exemple, il a été réduit de 70% en dix ans et le mercure a diminué de moitié dans le même temps.
L’arsenic provenant en grande partie de la croûte terrestre, on peut comprendre que la chair des poissons sauvages en contienne.
Certains, pour se rassurer, préfèrent opter pour des saumons d’élevage bio – Le label bio garantit, en effet, l’achat d’un produit à l’impact minime sur l’environnement et la santé, et pour lequel l’usage de produits chimiques est limité.
Selon 60 millions de consommateurs, « cette garantie ne semble pas absolue, tant s’en faut ! On peut retrouver des résidus de PCB, de métaux lourds et de pesticides, en particulier dans les saumons frais ». Estampillé bio !
Ainsi, le retrait de la peau et des parties ventrale et dorsale, riches en tissus graisseux, peut conduire à une diminution de l’ordre de 40% à 50 % des apports en contaminants.
Retrouvez l’intégralité de cette enquête dans le numéro de décembre 2016 de 60 millions de consommateurs (disponible en kiosques).