La France prend ce samedi, pour six mois, la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne
La cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock a ainsi assuré ce vendredi-là France de son plein soutien pour sa présidence tournante de l’UE.
Cette présidence, qu’Emmanuel Macron souhaite orchestrer autour de trois axes, « relance, puissance et appartenance », coïncide avec la présidence allemande du G7 pour un an, et qui sera ponctuée par un sommet des dirigeants du G7 en Bavière en juin prochain.
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L’Allemagne et la France, « en qualité d’amis les plus proches au cœur de l’Europe, portent une responsabilité particulière pour une Union européenne unie, capable d’agir et orientée vers l’avenir », a-t-elle ajouté.
Concrètement, la future présidence française a mis en avant trois priorités : des salaires minimums dans toute l’UE, la régulation des géants du numérique et une taxe carbone aux frontières.
La France prend ce samedi, pour six mois, la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne.
