Guyane : Le mea culpa de Nicolas Dupont-Aignan sur un centre de détention
En novembre 2014, le député souverainiste de l’Essonne plaidait pour une «justice d’exception» pour les «fous furieux» partis faire le djihad et rentrés sur le sol français.
Et pour montrer sa fermeté et détermination en la matière, le président du parti Debout la France estimait que les Français partis combattre en Irak ou en Syrie devaient être assignés à résidence et éloignés.
«J’ai blessé les Guyanais», a-t-il regretté sur France 2, lundi matin, alors qu’un violent conflit social touche ce territoire ultramarin.
«Moi je considère les territoires d’outre-mer comme la France.» Nicolas Dupont-Aignan est favorable à plus d’investissements en Guyane.