Le bouclier tarifaire sur le gaz va être prolongé jusqu’à la fin de l’année et la ristourne de 18 centimes d’euros par litre de carburant va aussi être prolongée au-delà du 31 juillet, mais on ne sait pas jusqu’à quand .
Il faut aussi y ajouter le chèque alimentation, la revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, etc. On n’a pas de chiffrage précis parce que tous les arbitrages seront bientôt pris, mais ça va se compter en plusieurs dizaines de milliards d’euros.
On rappelle que la dette de la France est déjà à près de 2 800 milliards d’euros et que sa charge promet de s’alourdir avec la hausse des taux d’intérêts.
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En attendant, le gouvernement aimerait bien que d’autres participent à l’effort, notamment les entreprises, qu’elles mettent la main à la poche pour améliorer le pouvoir d’achat des Français, en augmentant les salaires ou en distribuant la fameuse prime Macron sans cotisation, ni impôts dont le plafond va être porté à 6 000 euros annuels – ce sera d’ailleurs dans la loi anti-inflation.