De plus en plus de voix s’élèvent contre les Zones à Faibles Émissions (ZFE)

De plus en plus de voix s’élèvent contre les Zones à Faibles Émissions (ZFE)Sur les ZFE, le ton monte depuis le 1er janvier. Depuis que les véhicules avec des vignettes Crit’Air 5 sont bannies d’une dizaine d’agglomérations. Personne n’est pourtant pris au dépourvu : il y a eu deux lois, en 2019 et 2021. Deux lois très claires : l’État met en place le cadre des ZFE mais ce sont les grandes villes où les métropole qui ont la main sur le déploiement de ces zones.

Il faut accompagner les plus précaires et peut-être aussi rappeler que personne n’est obligé d’acheter un véhicule électrique. Il y a beaucoup d’aides disponibles, des prêts à taux zéro… On peut même toucher des primes pour passer d’un vieux diesel à un véhicule essence plus récent. Personne ne le sait.

Pour autant, les écologistes ou les communistes dénoncent des ZFE antisociales. Ils opposent «fin du mois» et «fin du monde» et l’on peut s’interroger sur la position de la gauche face à ces Zones à Faibles Émissions.

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Alors que ce sont elles qui décident du calendrier et d’éventuelles dérogations. Enfin, on a le gouvernement qui pèche par naïveté, refusant de voir que ces zones sont politiquement explosives. Par ailleurs, on touche à la voiture, au pouvoir d’achat, c’est du niveau «Gilets Jaunes». L’État a laissé ces ZFE devenir illisibles avec presque autant de règles que de zones.

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