La France veut améliorer les taux de dépistage du cancer

Face à une participation insuffisante aux dépistages organisés des cancers du sein, colorectal et du col de l’utérus, l’Assurance-maladie et l’Institut national du cancer veulent «mettre les bouchées doubles» pour lever les freins existants, avec divers leviers dévoilés vendredi 26 janvier.

Alors que le fardeau global du cancer s’alourdit, le directeur général de l’Institut national du cancer a lancé «un appel à la mobilisation des Françaises et des Français, car ces dépistages permettent de guérir beaucoup plus et avec moins de séquelles quand un cancer est détecté tôt».

Par exemple, pour le cancer colorectal, dont le dépistage repose sur un test de détection de sang occulte dans les selles, il est possible depuis 2022 de commander le kit sur internet ou en pharmacie. Pour le cancer du col de l’utérus, l’examen peut être fait par des sages-femmes ou des généralistes, au-delà des gynécologues.

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Un site internet, Jefaismondepistage.e-cancer.fr, permet aussi de commander les kits colorectaux ou de prendre rendez-vous.

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