Politique migratoire : les ministres de l’Intérieur européens s’entendent sur sa réforme
« Les pays en première ligne, notamment la Grèce et l’Italie, devront effectuer les procédures et renforcer les contrôles », poursuit-il.
« En contrepartie, il est demandé aux États les moins exposés d’être plus solidaires. Ils devront accueillir une partie des migrants qui ont obtenu le droit de rester sur le sol européen, sinon ils seront sanctionnés de 20 000 euros par personne non accueillie », précise le journaliste.
Mais, certains ont exprimé leur désaccord. «La Hongrie estime que cette réforme est inacceptable. Les discussions vont se poursuivre avec le Parlement européen ».