Si elle est nommée Première ministre , Lucie Castets, la candidate de la gauche à Matignon, veut une “grande réforme fiscale”

Si elle est nommée Première ministre , Lucie Castets, la candidate de la gauche à Matignon, veut une Lucie Castets n’a pas pour «objectif premier de respecter le pacte de stabilité» européen qui limite le déficit public à 3 %. La France a été placée en procédure pour déficit public excessif par la Commission européenne, après avoir affiché un déficit à 5,5 % du PIB en 2023, une première depuis la suspension des règles budgétaires en 2020 avec la crise de la covid.

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Lucie Castets a informé dans le quotidien économique, La Tribune, son intention d’aller «chercher des recettes fiscales et sociales à hauteur de 150 milliards d’euros à l’horizon 2027, afin de financer notre programme et de réduire le déficit».

Sa réforme fiscale portera, souligne-t-elle, sur « la progressivité de l’impôt sur le revenu» qui « passera à 14 tranches (utilisé de 1983 à 1988)». Soit, «une baisse d’impôt» pour «une grande partie des ménages», assure cette énarque révélée il y a moins d’une semaine au grand public.

Elle confirme par ailleurs un élargissement de « la taxation du patrimoine» et le retour de l’impôt sur la fortune (ISF). Concernant les entreprises, elle préconise l’arrêt des « dispositifs les plus coûteux, par exemple, les baisses de cotisations, surdimensionnées».

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