Après un entretien avec Vladimir Poutine, il n’y a pas de “paix immédiate” en vue, assure Donald Trump
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Trump a également rapporté que Poutine avait affirmé, de manière très ferme, qu’il se verrait contraint de réagir aux récentes attaques ukrainiennes visant des bombardiers russes, ajoutant que leur entretien avait duré « une heure et quinze minutes».
Plus tôt dans la journée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé les conditions jugées inacceptables que la Russie impose, les qualifiant d’« ultimatums» et illustrant ainsi l’impasse actuelle des négociations. De son côté, Vladimir Poutine a accusé l’Ukraine d’avoir tenté de compromettre les pourparlers de paix en orchestrant des attaques « terroristes », qui ont entraîné des déraillements de trains meurtriers les 31 mai et 1ᵉʳ juin.
Dans ce contexte, Volodymyr Zelensky a proposé d’organiser une rencontre impliquant Vladimir Poutine et Donald Trump, estimant que poursuivre les discussions d’Istanbul dans le format actuel serait « insensé », après deux cycles récents peu fructueux, à l’exception des échanges de prisonniers.