Alors que la France a connu son 4ᵉ printemps le plus pluvieux, les limaces pullulent, début juin, dans les jardins. Parce que les limaces adorent la pluie, qui leur permet de fabriquer le mucus. Autant dire que ces dernières années, avec les sécheresses à répétition, il ne faisait pas un temps à traîner dehors.
C’était prévisible, mais ça n’avait jamais été démontré jusqu’à présent. Une équipe de chercheurs de l’université de Barcelone ont découvert que le gazon artificiel est un désastre écologique, car il pollue les eaux. Pour en tirer ces conclusions, les scientifiques ont étudié 217 échantillons d’eau prélevés au large de Barcelone ainsi que 200 échantillons prélevés de 2014 à 2021 sur le Guadalquivir, la seconde plus long fleuve espagnol.
L’Académie des technologies a dévoilé le 3 juillet dernier un rapport sur les « Apports des technologies en réponse aux besoins en eau douce, en France, dans le contexte du changement climatique ». Un processus « très énergivore », indique Benoît Teychene, chercheur à l’Institut de Chimie des Milieux et des Matériaux à l’université de Poitiers. L’osmose inverse requiert « de 2,5 à 5 kWh pour produire 1 m³ d’eau douce dessalée », souligne le chercheur.
Sur les ZFE, le ton monte depuis le 1er janvier. Depuis que les véhicules avec des vignettes Crit’Air 5 sont bannies d’une dizaine d’agglomérations. Personne n’est pourtant pris au dépourvu : il y a eu deux lois, en 2019 et 2021. Deux lois très claires : l’État met en place le cadre des ZFE mais ce sont les grandes villes où les métropole qui ont la main sur le déploiement de ces zones.
De nombreux Français, très affectés par l’inflation et le manque de pouvoir d’achat, sont contraints de délaisser les dépenses liées à l’habillement. En témoignent les chiffres de ventes, en baisse depuis le mois de janvier dernier. Une gérante d’une boutique de vêtements le constate : les clients ne sont pas toujours au rendez-vous depuis janvier dernier.
« Le déclin de la biodiversité se poursuit », alerte un rapport du Conseil économique, social et environnemental, à paraître ce 23 septembre. Ses auteurs taclent le gouvernement qui n’a « pas pris ses responsabilités » face à l’« urgence ». D’après le « Giec de la biodiversité », « environ un million d’espèces animales et végétales sont aujourd’hui menacées d’extinction notamment
“Ce n’est pas une loi d’interdictions, c’est une loi de mobilisation de tout le secteur de la publicité et d’encadrement progressif sur les produits
Plus d’un tiers des espèces de végétaux et d’animaux sont menacées en Suisse, un pays qui «fait partie des pires