En moyenne, les Français paient aujourd’hui 25 euros par an pour être couverts pour ces risques habitation, soit 12 % du prix global de l’assurance habitation. L’État fixe ce pourcentage. D’où La demande de France Assurance d’augmenter cette partie de la prime d’habitation que l’on appelle «surtaxe catastrophe naturelle».
«Malgré l’importance croissante de ces questions dans le débat public et dans le monde politique, les banques européennes n’ont pas réduit de manière significative leur recours aux paradis fiscaux», affirme cet organisme qui est financé par la Commission européenne et dirigé par l’économiste français Gabriel Zucman, spécialiste de ces questions.